lundi 27 juin 2016

Lundi, je râle #1

lundi 27 juin 2016


Je râle…


Après la fatigue.

Pour inaugurer cette rubrique, j'aurais pu râler sur les clichés dans la littérature, les débats sans fin (sur l'auto-édition et/ou les services presse) ou encore les pratiques de certaines maisons d'édition. J'aurais pu...

Mais j'ai choisi de maudire la fatigue. Pour la petite histoire, je travaille de nuit. Pendant dix heures et demie, je fais du ménage tout en devant faire la police auprès de personnes dont l'âge peut osciller entre 18 et 55 ans. 

Du coup, je vis en décalé. Je dors la journée sauf que cela n'est pas aussi reposant que la nuit. (ben ouais, on ne perce pas à minuit normalement, pas plus qu'on ne tond les pelouses à deux heures du matin.)

En plus je souffre d'insomnie. Avant c'était une excuse pour lire (écrire ou jouer aux jeux vidéo). Maintenant, c'est devenu un poil plus compliqué. 

Quand j'ouvre un livre, je peux lire une page, puis une autre avant de m'arrêter et d'avoir un gros blanc. Je n'ai rien retenu alors je dois recommencer pour un résultat... équivalent. Ou pire. Parfois j'ai carrément l'impression que la phrase est illisible ou écrite en chinois.

Du coup, je ne peux pas lire. Je ne peux pas écrire. Je ne peux pas jouer. Je ne peux pas chroniquer. Le pire, c'est que dès que ma tête se pose sur l'oreiller, mon corps décide qu'il peut courir en marathon avant de redevenir un zombie une fois debout. 

Bref, la fatigue c'est galère.

Le seul bon côté, c'est les fous rires toute seule face à l'écran quand je lapsus, que je relis mes tentatives pour écrire un article, une chronique ou simplement discuter avec des amis. Alors oui, je râle…

Je râle après la fatigue, après l'insomnie et je maudis cette PAL qui m'attend et qui me nargue joyeusement. Vivement les vacances, c'est moi qui vous le dis !

(Et maintenant, vous savez pourquoi le blog marche au ralenti. D'un côté, Evy est en vacances pendant que moi j'attends les miennes en sachant que je n'ai qu'un seul but : Dormir. Quant aux autres chroniqueurs, ils sont portés disparus. )

vendredi 17 juin 2016

Le Dôme par Mathieu Mériguet

vendredi 17 juin 2016
Résumé : Ce matin-là, Arthur s'éveille dans un endroit inconnu, loin des draps dans lesquels il s’est endormi la veille. Le jeune étudiant repose sur un banc de pierre, au beau milieu d'une étendue d’herbe. À ses côtés, deux filles et deux garçons gisent de la même façon.
En ouvrant les yeux, Arthur découvre les environs. Face à lui, se dresse une vaste bâtisse d'un autre âge. Au-dessus de sa tête, un dôme extraordinaire, d'une hauteur vertigineuse, s'étend à perte de vue. L’averse bat son plein, et bien que cet endroit inspire la méfiance, la nécessité de s’abriter à l’intérieur du château s’impose.

Quel mystère cette propriété singulière renferme-t-elle ? Pourquoi Arthur est-il ici, et surtout, quel est cet ouvrage démesuré qui obscurcit le ciel ?

Titre : Dôme

Auteur : Mathieu Mériguet

Édition : Auto-Edition

***


 
Aujourd'hui, je vais vous parler de Dôme, le premier tome d'une saga fantastique écrite par Mathieu Mériguet. Je le remercie d'ailleurs de me l'avoir confié pour en faire une petite chronique.

Dôme est une histoire avec une intrigue prometteuse, qui est malheureusement gâchée par un détail de poids : les personnages. Je n’ai pas pu m’attacher à eux. Je n’ai pas vu leurs qualités. Pire, j’ai vu leurs défauts s’accentuer au fil de l’intrigue. À la fin, je ne pouvais plus les supporter. En plus, j’ai été gênée par le vocabulaire. Pour moi, un adolescent a en moyenne entre 12 ans et 18 ans. Ensuite, l’on rentre dans l’âge adulte. Résultat, j’ai eu du mal avec l’usage du terme adolescent pour de jeunes gens d’une vingtaine d’années. Après un personnage parvient à relever le niveau : Suzanne. Si elle n’avait pas été présente, j’aurais abandonné le roman.

À côté de cela, le Dôme possède quand même une intrigue avec du potentiel. J’ai aimé les idées que l’auteur développe, ce qui a fait que j’étais encore plus en colère après les personnages. Je trouve qu’ils handicapent vraiment l’histoire. Certains passages m’ont paru longs parce que je ne les supportais plus. Je voudrais dire que je vais lire la suite, mais je mentirais. Même si j’ai envie de savoir ce que l’auteur prépare, que je suis curieuse de découvrir comment les choses vont se résoudre, l’idée de devoir revoir les héros du roman suffit à me décourager.

Du coup, le Dôme est une déception à mes yeux. Ce roman a des qualités, mais les personnages réussissent à me les faire oublier. Je trouve ça vraiment dommage, car le Dôme aurait pu être une chouette saga fantastique. 


Verdict ♥ ♥


mercredi 8 juin 2016

Yzé et le palimpseste de Florent Marotta

mercredi 8 juin 2016
Résumé : 

Ambre Delage est une lycéenne lambda. Orpheline de père et de mère, elle vit chez sa tante Lucy qui l'élève depuis sa naissance. Un soir, un événement dépassant l’entendement va brusquement la jeter dans un tourbillon de révélations qu'elle était loin d'imaginer. Dès lors, pour la jeune fille tout bascule. Il faut fuir. Fuir sa vie tranquille, fuir son identité. Mais qui est-elle vraiment ?

Ambre est une jeune lycéenne de 16 ans dont l’existence va basculer du jour au lendemain. En réalité, son identité a été caché afin de la préserver d'ennemis dont elle ne connait rien : les magis (sans oublier les Frères de la Lumière qui s'en prennent à tout le monde). Yzé est une Wicce, une sorte de sorcière capable de maîtriser un élément : le feu, pour notre jeune femme. Les siens vivent à l'écart de la société, dissimulant leur présence aux humains ainsi qu'aux Magis, des ennemis depuis des années.
Yzé va devoir fuir son ancienne vie et apprendre à maîtriser ce nouveau pouvoir. 

Je dois vous avouer que j'ai beaucoup de mal à savoir par où commencer pour rédiger mon avis sur "Yzé et le palimpseste". Pour lire cette histoire, il a vraiment fallut que je m'accroche tant j'avais du mal à suivre tous les personnages. Je sais que le livre est classé en "jeunesse"/"young adult", mais si je me mets à la place d'un jeune lecteur, je me dis que suivre cette histoire doit être très très difficile...

La mise en place de l'intrigue et de l'histoire de Yzé est très longue, même si elle commence sur les chapeaux de roues ! Nous changeons très souvent de points de vue, de personnages de quête, ce qui donne une impression de "sur place" dans la lecture. Au bout d'un moment, je n'arrivais même plus à savoir qui je suivais et pourquoi, tant certains passages paraissaient creux. Ces changements de personnages multiples sont pour moi le gros point noir de ce livre.

Concernant les personnages, je ne me suis pas du tout attachée à Yzé, mais plutôt à ses amis : Isobel et Isaac. J'ai adoré les retrouver et partager un peu de temps avec eux. Pour les autres, il y en avait tellement que je ne pourrais pas tous les citer... Bon, c'est vrai que j'ai beaucoup aimé les "méchants" Magis, à attendre leurs chapitres avec impatience !

Je pense que l'intrigue pourrait être très intéressante, mais trop d'éléments semblent se mélanger. Elle est d'ailleurs très recherchée et complexe, d'où mon interrogation sur un "YA". 

Vous l'aurez compris, cette chronique est un peu mi-figue mi-raisin. Disons que j'ai lu cette histoire sans vraiment rentrer dedans. Elle peut sans doute plaire à des lecteurs aimant les livres teintés de magie.

Dans tous les cas, je vous invite à vous faire votre propre avis :)
Je remercie les éditions Taurnada pour cette lecture.

mardi 7 juin 2016

Nos nouveaux rendez-vous !

mardi 7 juin 2016
(Non, cette image ne représente pas l'article, mais ça fait vide sans image sur la page d'accueil.)


Aujourd'hui, j'ai décidé de vous parler des nouveaux rendez-vous d'Encore un Chapitre. Nous avons décidé d'en instaurer un certain nombre entre les chroniques, quand l'envie nous prendra de vous parler autrement de la lecture et du monde qui l'entoure. Alors, oui, si j'utilise le mot envie, ce n'est pas par hasard. Ces nouveaux rendez-vous ne seront pas obligatoirement présents chaque semaine, mais de manière plus aléatoires au gré de nos désirs et de nos inspirations.

Voici donc la liste des nouveaux rendez-vous avec le jour de la semaine que nous lui avons attribué.

Le Lundi, ce sera « Je râle » car c'est le début de la semaine, donc reprise du boulot. Enfin, ça, c'est pour Evy. Dans mon cas, c'est légèrement plus compliqué car je travaille de nuit (et les week end) et mes horaires ont tendance à être différent. Bref, « Je râle » est là pour qu'on pousse des petits coups de gueule sur des choses qui nous agacent en matière de littérature (ou pas, si l'actualité nous pousse à râler sérieusement sur autre chose). Alors ça pourra être des petits coups de gueule sérieux et d'autres un peu moins !

Le Mardi, c'est relâche ou alors j'ai oublié de noter le rendez-vous sur notre Google Agenda !

Le Mercredi, ce sera l'occasion de mettre en avant des personnages masculins qui nous ont marqué en bien. (en pas bien, ce sera dans « Je râle ») En fait, c'est l'équivalent masculin d'un autre rendez-vous afin que la parité soit respectée.

Le Jeudi, les interviews d'auteur seront à l'honneur afin de découvrir qui se cache derrière les livres qui nous font chavirer. (qui sont les sadiques qui martyrisent nos héros préférés, qui usent de leur plume pour nous faire pleurer... ou rire aussi !)

Le Vendredi, les pourquoi pointeront le bout de leur nez. Le principe est simple, nous nous interrogeons entre nous afin de savoir pourquoi nous apprécions certaines choses ou au contraire pourquoi nous ne les aimons pas. Par exemple : Pourquoi Evy pique-t-elle tous les SP ? Pourquoi je détester toutes les adaptations télés sans exception même quand j'essaie de faire un effort ? Pourquoi Evy lit-elle ce genre ? Etc.

Le Samedi, nous nous amuserons à déclarer notre flamme à un auteur, à une maison d'édition. L'objectif sera de vous donner envie, mais parfois vous nous prendrez peut-être pour des folles quand les déclarations de flamme seront très enflammées !

Quant au Dimanche, ce sera l'occasion de parler des personnages féminins marquants. Ce rendez-vous là me tient très à cœur car je trouve que l'on est souvent trop injuste avec elles alors qu'il en existe de très réussis ! Oui, c'est mon côté féministe qui ressort et je dois dire qu'avec l'âge, ça ne s'arrange pas.

Maintenant vous savez tout des rendez-vous qui attendent sur Encore un chapitre, que vous pourrez retrouver à des intervalles plus ou moins réguliers. Quant aux chroniques, elles sont et seront toujours là tantôt nombreuses, tantôt sporadiques !

En attendant de vous retrouver, je vous souhaite plein de bonnes lectures à tous et à toutes !

dimanche 5 juin 2016

Personnage Féminin #3 : Solange

dimanche 5 juin 2016
Après avoir longuement hésité, j’ai décidé de me pencher sur le cas de Solange, l’une des héroïnes de Là où tombent les anges, un roman écrit par Charlotte Bousquet.

Quand débute l’histoire, Solange est une jeune fille âgée d’à peine dix-sept ans. Elle fuit un père violent pour rejoindre sa meilleure amie Lili à Paris. Là-bas, elle va se laisser séduire par un autre monstre, qui va la convaincre de l’épouser avant de dévoiler son vrai visage. Condamnée à être exhibée comme un trophée aux bals mondains et à servir de garde malade à la vieille tante aigrie de son mari, le bonheur semble interdit à Solange.

Pourtant lorsque la Première Guerre mondiale va éclater, Solange va retrouver la liberté avec le départ au front de son époux. Elle, qui n’a connu que des hommes tyranniques, va s’épanouir sous nos yeux. La demoiselle effacée va petit à petit se transformer en femme capable de défendre son opinion même si ça ne se fera pas sans heurts. Il lui faudra du temps pour y parvenir, du courage aussi et elle fera face à l’incompréhension de certains membres de son entourage tandis que d’autres seront d’indéfectibles soutiens. Il en existe un, qui se révélera surprenant, mais qui joue un rôle majeur dans l’épanouissement de Solange.

J’ai aimé Solange parce qu’elle était très crédible, qu’elle ne s’en sortait pas si facilement que cela et que ses doutes étaient compréhensibles. Elle oscille entre courage et lâcheté, elle s’efforce de trouver sa voie, d’apprendre à s’imposer et ce n’est clairement pas évident. J’ai aimé le lien qui l’unissait à Lili, le fait que leur amitié soit faite de haut, mais aussi de bas, qu’elles se soutiennent, mais aussi se heurtent à de nombreuses reprises. J’ai aimé la façon dont Solange a su être là pour Lili quand vient la fin du livre, la lettre qu’elle lui écrit et qu’elle lui offre.

Solange est un personnage réussi, car elle est juste dans son écriture. J’ai éprouvé de la compassion face à son statut de victime. J’ai été heureuse de la voir s’épanouir loin de son mari. J’ai eu envie de la secouer aussi pour l’aider à sortir de son enfer personnel. Elle ne m’a jamais laissée indifférente et c’est pour ça qu’elle a sa place ici.

vendredi 3 juin 2016

Pourquoi #1 : Pourquoi j'ai peur de lire de l'auto-édition ? (Jupsy)

vendredi 3 juin 2016
Pourquoi j'ai peur de lire de l'auto-édition ? (Question posée par ma consœur Evy )

Avant toutes choses, je tiens à dire que je lis des livres auto-édités. J'en ai lu des bons et des mauvais.

Maintenant, oui, je le reconnais j'ai peur de lire des romans issus de l'auto-édition. Pour moi, la maison d'édition est une garantie sur le contenu que je vais lire. Elle se charge de faire une sélection parmi des manuscrits où elle s'efforce de trouver la perle rare. Puis elle travaille avec l'auteur pour peaufiner l'ouvrage et le proposer au public. (Alors oui, le système n'est pas parfait. La maison d'édition peut commettre des erreurs de gestion ou de jugement. (Non, non je ne pense pas du tout à Loin de tout... j'oserais pas !))

Avec les auteurs auto-édités, je n'ai pas la maison d'édition pour me garantir que cet ouvrage est lisible. Alors, je suis d'accord, il faut savoir se faire sa propre opinion. Il ne faut pas toujours se fier à ce que l'on nous propose, à ce que pense les critiques, mais je dois avouer que l'idée de donner de l'argent à quelqu'un qui ne m'offre aucune garantie, cela ne m'enchante pas vraiment. Je n'ai pas envie d'échanger trois euros (ou moins) contre un roman bourré de fautes, insipides ou alignant les clichés.

Je me retrouve donc à prendre un risque avec les auteurs auto-édités. Je me retrouve aussi face à des dilemmes. Ce ne sont pas des professionnels de la vente, ce ne sont pas des graphistes innés alors parfois derrière une couverture atroce peut se cacher une perle. Parfois derrière une promotion maladroite peut aussi se cacher une perle… Sauf que je n'ai pas toujours envie de faire cet effort-là. J'aime pouvoir me reposer sur le savoir-faire de maison d'édition. Comme ça, si c'est mauvais, j'irai lui reprocher à elle ses mauvais choix… et je n'aurais pas à le faire directement avec l'auteur.

En fait lire un auto-édité, cela me donne l'effet d'être un juré de la nouvelle star. Si je peux crier au génie de temps en temps, les non sont nombreux et ça ne m'amuse pas de chercher la punchline censée briser les rêves de l'auteur. Je préfère que la maison d'édition s'en charge. (Oui, c'est pas gentil pour elle, mais bon elle est aussi là pour prendre les risques et les mesurer. Et puis c'est nul de briser les rêves d'autrui.)

Après il existe des façons de me rassurer. L'une des plus efficaces reste l'extrait ou la possibilité de lire le début du roman. J'aime pouvoir feuilleter les livres avant de me décider à les prendre. J'aime choisir une page au hasard, la lire et me dire : Oui, je tente l'aventure. Bon après, le souci de l'auto-édition, de la vente en ligne des romans, c'est qu'elle m'empêche de jeter un œil à la fin. Oui, je l'avoue, dans certains genres d'ouvrages, je commence par la fin. (Mais pas dans les thrillers car ça gâche clairement le plaisir !) Par contre si vous voulez savoir pourquoi je fais ça, il faudra demander à Evy de me poser la question.

mercredi 1 juin 2016

Les Loups de Huntsville, Tome 3 : Oméga par Ivy Clark

mercredi 1 juin 2016
Résumé :

Julia est une louve oméga. En général, elle est plutôt de nature soumise. Devant le danger, elle fuit ; face à un dominant, elle cède. Malgré sa répugnance pour Huntsville, ville qui grouille de chasseurs, elle se plaît dans la meute atypique de Zac, Émeric et Annabelle. Elle s’y croyait même en sécurité, jusqu’aux récentes tueries qui ont touché les humains et les loups-garous. De tels évènements forcent les lycanthropes à redoubler de vigilance, et c’est sans parler de la curiosité de certains habitants et l’arrivée d’une nouvelle meute, bien décidée à tirer ces meurtres au clair...

Je suis toujours impatiente de recevoir mon épisode des Loups de Huntsville, j'ai donc sauté de joie lorsqu'il était enfin entre mes mains. Un grand merci aux editions Laska !

Pour cet épisode n°3, nous changeons un peu de personnage pour nous intéresser à Julia, la louve oméga de la meute. Basé entièrement sur elle, nous nous détachons un peu du couple Zac/Anna pour la suivre dans son quotidien qui va être chamboulé. Pour tout vous dire, c'est un immense coup de cœur !  Je peux même dire que j'ai préféré l'histoire de Julia à celle d'Anna.

En tant qu'oméga, Julia est la plus faible de la meute dans la dure hiérarchie des loups, mais je l'ai trouvé très forte en réalité. Et, surtout, très attachante. Certes, face aux autres loups, elle a tendance à courber l'échine. Mais, l'auteur est parvenue à tourner cette position à son avantage !
Contre toute attente, elle va en pincer pour un loup d'une nouvelle meute venant renforcer l'intrigue de cette série. Le loups n'est d'ailleurs pas indifférent à ses charmes et va rapidement la prendre sous son aile. Cette romance légère, mais non dénuée de sentiments, m'a vraiment captivée. Elle a quelque chose de très sincère qui manque vraiment à Zac et Anna.

J'adore Julia. J'aime son histoire. Et je valide son nouveau petit copain !

Les + :

  • Un changement de personnage bienvenu.
  • Une nouvelle meute, un nouveau mâle, une intrigue qui se renforce.
  • Une romance vraiment touchante que j'ai adoré.


Les - :

  • Un peu trop de scènes érotiques dans cet épisode, un seul passage aurait largement suffit.
Encore un Chapitre © 2014